Cinnamon Rolls, les roulés à la cannelle à l’américaine !

Bonjouuuuuuur ! J-25 avant Noël, l’excitation commence à monter, les envies de dégainer les calendriers de l’Avent (et d’ouvrir toutes les cases d’un coup !), de dévorer du panettone au petit-déjeuner …
Alors je continue mon compte à rebours culinaire ! Et aujourd’hui, je vous propose une recette de Cinnamon Rolls, ces petites brioches roulées à la cannelle typiques des petits-déjeuners de décembre aux USA.

Cette recette vient du livre « Made in America » que j’aime beaucoup pour l’inspiration, mais qui a l’inconvénient d’être truffé de petites coquilles (du moins en première édition), parfois il est indiqué « beurre mou » dans les ingrédients puis « beurre fondu » dans la recette, ce genre de petites erreurs … mais quand il y en a 4 par recette, il faut décrypter !
Bref, j’ai fait quelques petites rectifications :)

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Pour une dizaine de roulés, il vous faudra : 

  • 400 g de farine
  • 15 g de levure fraîche (ou 1 sachet de levure de boulanger déshydratée, il suffira de lire les instructions sur le paquet)
  • 1 cuillère à café de sel fin
  • 100 ml de lait
  • 100 ml d’eau
  • 50 g de beurre froid coupé en petits morceaux
  • 1 oeuf

Pour la garniture :

  • 40 g de beurre fondu
  • de la cassonade
  • de la cannelle
  • du cacao si vous n’aimez pas la cannelle (ou si vous souhaitez tester le super combo chocs-cannelle, n’est-ce pas Guillaume ?)

Dans le bol du robot (ou dans un saladier en vous armant de vos petits biceps), versez la farine, la levure, le sel (sans mettre en contact la levure et le sel), ajouter l’eau, le lait et le beurre et commencez à pétrir. Une fois la pâte à peu près homogène, ajoutez l’oeuf et continuez à pétrir, la pâte doit être légèrement élastique mais pas trop collante (si c’est le cas, ajoutez un peu de farine et continuez à la travailler un peu).
Couvrez la pâte d’un torchon humide (pour éviter qu’il ne se forme une croûte à la surface) et mettez la pâte à lever dans un endroit chaud (le top pour moi, c’est dans le four, à 35-40°, avec un petit bol d’eau histoire que ça reste bien bien humide).

Une fois que la pâte a doublé de volume (il faut un peu de temps, une heure au moins, le temps de se faire une belle playlist de Noël !), il faut la dégazer en la travaillant sur un plan de travail légèrement fariné. Ensuite, étalez-là en un grand rectangle, puis badigeonnez-la avec le beurre fondu.
Ensuite, saupoudrez de sucre, de cannelle, de cacao si vous en avez envie (et rien ne vous empêche d’y mettre des éclats de M&M’s, des pépites de cacao, du beurre de cacahuètes, c’est vous qui voyez !).
Roulez le tout en un gros boudin bien rond, coupez des tronçons de 3 centimètres environ (à l’oeil, hein, pas la peine de dégainer la règle), et disposez-les dans un plat recouvert de papier sulfurisé, légèrement espacés (il ne faut pas qu’ils se touchent, ils vont encore gonfler).
Remettez-les au chaud pour que la pâte lève une nouvelle fois, 30 minutes au moins. Saupoudrez-les de sucre vanillé puis enfournez à 180°C pour 15 à 20 minutes.

Vous sentez cette délicieuse odeur de pâte briochée, de sucre chaud, de cannelle ? N’hésitez pas à sortir votre meilleur thé de Noël et installez-vous pour un délicieux goûter ! Bon appétit à tous et bons préparatifs de fêtes !

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Follard ou croquendoule : la brioche de la Saint-Martin

Bonjour à tous et merci à vous de me suivre sur ce blog :)

Comme tous les ans, l’hiver approche, et surtout Noël approche, le blog va se réveiller et sortir ses décors de fête !
J’avais envie l’an dernier de commencer les préparatifs avec cette recette, j’ai manqué de temps mais qu’à cela ne tienne, cette fois-ci, c’est la bonne !

Cette recette, celle de la brioche de la Saint-Martin, est une recette traditionnelle du nord et de la Belgique, principalement de Dunkerque où est née une légende assez rigolote. On raconte que Saint-Martin s’est endormi dans les dunes proches de la ville … ou bien qu’il était si occupé à prêcher la bonne parole qu’il n’a pas vu le temps passer (j’ai bien ma petite idée sur la question), et que son âne en a profité pour aller faire un petit tour en solitaire. Or, il faisait nuit, et le bonhomme était bien embêté pour retrouver sa monture. Les enfants de la ville sont alors venus aider Saint-Martin à chercher son âne, au milieu des lumières des maisons des pêcheurs, et pour les remercier, une fois l’âne retrouvé, il aurait ramassé les crottes de l’animal et les aurait transformées en petites brioches pour les leur distribuer. Leur nom, « follard » ou « folard » vient du flamand « volaeren » (« crotte » en flamand, ils auraient pu enjoliver le truc, mais non !). On les appelle aussi croquendoules, ce qui a priori signifie la même chose, même si je n’ai pas trouvé d’explication étymologique (et dans ma Bourgogne, on s’y connaît assez peu en dunkerquois).

La tradition a perduré puisque chaque année, les enfants peuvent préparer des lampions (idéalement en creusant des betteraves) pour aller dans les dunes chercher l’âne, en procession, avant de déguster des brioches en famille. Et pour beaucoup, c’est le début de la période des fêtes de fin d’année !
On ne se lancera dans une analyse psychologique du personnage, même s’il y aurait sûrement beaucoup à dire … non, aujourd’hui, je me contente de partager cette recette avec vous !

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Le résultat, c’est une brioche très légère, très aérée, moelleuse, pas trop sucrée, une vraie petite douceur pour le goûter ou le petit-déjeuner !

Pour une dizaine de brioches :

  • 500 g de farine
  • 20 g de levure de boulanger (plutôt fraîche, sinon un sachet de levure de boulanger sèche, ça marche aussi même si je trouve que ça sent toujours un peu la levure)
  • 50 g de sucre
  • 125 g de beurre bien froid en petits cubes
  • 2 cuillères à café de sel
  • 2 oeufs
  • 25 cl de lait
  • 150 g de raisins secs trempés dans du rhum (je ne les ai pas mis, mes enfants n’aiment pas, moi non plus ! vous pouvez aussi les remplacer par des pépites de chocolat).
  • 1 jaune d’oeuf pour dorer (ou du lait, ou 1 jaune délayé avec du lait et un peu de sucre, j’adore l’effet que ça donne à la surface de la brioche !)

 

Si vous n’avez pas de robot, il va falloir faire bosser vos biceps ! Si vous avez la chance d’en avoir un, utilisez l’outil de pétrissage (lame ou crochet), ce sera parfait !
Versez dans le bol du robot (ou dans un saladier) le lait, la levure émiettée (ou mélangez avec la levure sèche en suivant les indications sur le sachet), la farine par-dessus, le sucre, le sel, et commencez à pétrir. Quand le mélange devient épais, ajoutez les oeufs, et quand les oeufs sont à peu près incorporez, ajoutez le beurre en petits morceaux, et continuez à pétrir jusqu’à ce que la pâte devienne assez élastique et commence à se détacher des parois.

Couvrez et laissez la pâte gonfler jusqu’à ce qu’elle double de volume (au moins). Si au bout de 30 minutes votre pâte n’a pas commencé à gonfler, mettez là dans un endroit chaud et humide : la salle de bains, le four à 40° avec une coupelle d’eau, sur un radiateur avec un torchon humide pour couvrir le saladier …
Ensuite, dégazez la pâte (= écrabouillez-là plus ou moins violemment selon votre humeur du moment), et partagez-là en 10 portions.
Détaillez chaque portion en une grosse boule et deux plus petites, déposez-les sur une plaque recouverte de papier sulfurisé et dorez au pinceau (ou avec les doigts si vous n’avez pas de pinceau ou n’aimez pas la vaisselle).
Laissez gonfler de nouveau (à nouveau dans un lieu humide si besoin) puis enfournez pour 15-20 minutes à 180°.

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Bon appétit, et profitez bien de cette première recette au doux parfum de fêtes …

 

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Kouglof aux parfums de Noël

Bonjour les amis !
Déjà presque deux mois depuis la dernière recette que j’ai postée ici, ça ne va pas du tout ! En ce moment, je cours, je cours, j’ai l’impression de n’avoir le temps de rien … mais ça va aller mieux très rapidement ! En tous cas, il va bien falloir, parce que le mois de décembre arrive et c’est LA période que j’attends toute l’année, alors, hors de question qu’un planning chargé m’empêche d’en profiter !

Et pour se mettre dans l’ambiance en beauté, je voulais du sucré, du chocolaté, du typique de Noël, alors j’ai pioché dans le livre « Gâteaux » de Christophe Felder et Camille Lesecq (une merveille ce livre !). Et comme j’ai acheté un moule à kouglof il y a quelques jours (merci les copines pour la virée chez Zodio !), ni une ni deux, j’ai opté pour la recette du Kouglof ! Avec une légère modification (mais je vous donne les 2 versions, et vous faites comme vous voulez !), je ne suis pas une grande fan de raisins secs, alors je les ai remplacés par de l’orange confite et des pépites de chocolat. J’ai aussi évité le sirop au kirsch parce que je n’aime pas trop le goût d’alcool dans les gâteaux.

C’est une recette qui prend un peu de temps puisqu’il y a 2 longues phases de pousse : la première d’au moins 5 heures, la deuxième d’au moins 2 heures. L’idéal est de commencer le soir pour reprendre le lendemain matin !

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Pour 2 kouglofs (c’est vite mangé, finalement …), il vous faudra :

  • 225 g de raisins secs blonds
  • OU 100 g d’écorces d’oranges confites, en petits cubes, et 150 g de pépites de chocolat
  • 15 g de kirsch (en option)
  • 500 g de farine (idéalement de la T45 mais ça reste un détail)
  • 15 g de levure fraîche
  • 65 g de sucre semoule
  • 15 g de miel (ou de trimoline mais encore faut-il en avoir !)
  • 10 g de sel
  • 100 g d’oeufs (2 gros, environ)
  • 22 cl de lait
  • 175 g de beurre mou (et un petit morceau pour beurrer les moules)

Pour le sirop au kirsch (ou pas au kirsch !)

  • 15 cl d’eau
  • 100 g de sucre
  • 12 g de kirsch (en option)
  • 1 g de vanille liquide

Pour le sucre vanillé maison (si vous le souhaitez, il suffit de mixer les 2 ingrédients ensemble) :

  • 100 g de sucre semoule
  • 1/2 gousse de vanille grattée

Pour la finition :

  • 50 g de beurre fondu
  • 50 g d’amandes brutes

Si vous utilisez des raisins secs, l’idéal est de les faire tremper dans de l’eau pendant 2 à 3 jours., puis de les égoutter et de les faire tremper dans le kirsch le temps de préparer la pâte à kouglof. Sinon, vous pouvez les laisser tremper une ou deux heures, c’est déjà pas mal.
Si vous possédez un robot pâtissier, la réalisation de la pâte sera facile, sinon, c’est possible mais un peu plus musclé !
Commencez par verser la farine, la levure émiettée, le sucre, le miel et le sel dans le bol du robot (sans mettre en contact le sel et la levure directement !). Faites tourner doucement avec le crochet pétrisseur, et incorporez doucement le lait et les oeufs. Ajoutez ensuite le beurre mou, coupé en petits cubes.
Pétrissez pendant une dizaine de minutes, pour obtenir une pâte bien lisse, élastique, et qui se détache des parois du robot. Tant qu’elle colle, laissez tourner … mais surtout, restez sur place, parce que le robot risque de bouger (mon Artisan s’est déplacé de 10 bons centimètres sur le plan de travail, ça aurait pu faire de sérieux dégâts !).
Lorsque la pâte est bien pétrie, ajoutez les raisins secs égouttés, ou les écorces d’orange et le chocolat (ou ce que vous voulez d’ailleurs ! des noix, des abricots secs …). Travaillez à nouveau la pâte, elle ne doit pas coller aux doigts.
Déposez la pâte dans un saladier légèrement fariné, recouvrez de film alimentaire, et mettez au frais pour la nuit (5 heures minimum). La pâte va doubler de volume.

Récupérez votre pâte et séparez là en deux parties égales. Il va falloir essayer de la manipuler le moins possible.
Préparez les moules à kouglof (un peu de beurre fondu, un peu de farine, et on dépose les amandes brutes dans le fond du moule, pour former la jolie couronne craquante du gâteau). Déposez la pâte dedans (j’ai fait une boule, puis creusé un trou pour en faire une couronne, et hop là, plouf dans le moule), et laissez pousser pendant 2 à 3 heures dans un endroit humide et tiède (dans le four à 35-40°, avec un bol d’eau posé au fond, c’est très bien !).
Sortez vos kouglofs une fois que la pâte atteint le bord du moule, préchauffez le four à 170°, et enfournez pour 45 minutes à une heure (ça dépend beaucoup du four, difficile d’être précis …).

Une fois vos kouglofs bien dorés, démoulez-les délicatement et laissez les refroidir, et préparez le sirop : il suffit de faire chauffer l’eau avec le sucre et la vanille liquide, jusqu’à ce que de jolies petites bulles commencent à remonter à la surface.
Arrosez légèrement vos kouglofs de sirop, attendez 5 minutes puis couvrez les de beurre fondu, au pinceau. Patientez encore 10 minutes, puis roulez les dans le sucre vanillé (sinon, vous pouvez aussi simplement les saupoudrer de sucre glace, c’est bien aussi !).

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Voilà, vous avez bien travaillé, vos kouglofs sont moelleux, légers, parfumés, jolis, craquants. Vous pouvez faire « oooooh », chanter votre chant de Noël préféré, et crier « à taaaaaaaable ! »
Bonne dégustation et à très bientôt pour une nouvelle recette de fêtes ! En attendant, n’hésitez pas, commencez à décorer la maison …

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Commencer l’année en douceur avec la brioche étoilée

Bonjour à tous !
Je ne suis pas encore passée par là depuis le début de l’année, alors avant tout, je vous souhaite à tous une excellente année 2016 ! Une santé de fer surtout, pas de soucis au boulot ou dans vos études, une famille aimante, des amis proches, bref des moments de bonheur tout au long de l’année, parsemés comme ça sur vos journées comme des pépites de chocolat sur des muffins :)
J’ai pris quelques bonnes résolutions cette année, comme continuer le sport, faire des progrès sur certains points précis en pâtisserie, finir touuuus les projets pour lesquels j’ai acheté de la laine ou du tissu … et parmi ces résolutions, il y avait « une nouvelle recette par semaine sur le blog ». Bon, pour les 2 premières semaines c’est déjà mal parti, mais je me rattraperai !

En général, au mois de janvier, j’ai des envies assez précises côté desserts. Je vous ai épargné ma recette de galette, parce que vous avez du en avoir des tonnes, et puis après les abus des fêtes (oui, moi j’ai abusé, largement … pas vous ?) je n’ai pas envie de choses très sucrées, j’ai plutôt des envies de douceur.
Alors, c’est l’occasion de ressortir une recette de brioche, c’est tout doux, tendre, moelleux, et puis ça fait aussi bien un bon goûter en rentrant d’une balade dans le froid qu’un super petit-déjeuner ! Et puis celle-ci est belle, elle en jette alors que c’est presque un jeu d’enfant !

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Rien de compliqué dans cette recette, juste plusieurs temps de repos, donc c’est un peu long à faire, il faut s’y prendre en avance. Mais c’est une recette inratable et absolument délicieuse ! En même temps, c’est celle de Christophe Felder, dans sa bible « Pâtisserie », alors évidemment c’est une recette testée et approuvée des centaines de fois !

Pour une brioche, soit 4 épaisseurs, d’environ 25 cm de diamètre :

  • 250 g de farine type 45
  • 30 g de sucre
  • 1 cuillère à café de sel
  • 10 g de levure fraîche
  • 3 oeufs (150g)
  • 165 g de beurre à température ambiante
  • 2 jaunes d’oeufs pour la dorure
  • 50 g de farine pour le plan de travail

Vous pouvez bien sûr faire cette pâte sans robot, avec un batteur tout simple en utilisant les crochets, ou à la main (mais forcément, c’est plus long !) en imitant le mouvement du crochet avec vos doigts.
Pour commencer, il faut verser la farine dans le bol du robot. On met ensuite le sel d’un côté, le sucre d’un autre côté, puis la levure, et aaaattention la levure ne doit pas être en contact avec le sucre et le sel.
Ajoutez tout de suite les oeufs et mélangez à vitesse lente, pour obtenir une pâte très dense. Incorporez ensuite le beurre (très très très mou) et pétrissez à vitesse moyenne, pour obtenir une pâte lisse, bien élastique, et qui se décolle des bords de la cuve. Il faut pouvoir prendre la pâte en main sans qu’elle se déchire. Si jamais ça colle trop, ajoutez un peu de farine, mais attention, tout doucement, cuillère par cuillère, en attendant qu’elle soit bien incorporée, pour que la pâte ne soit pas trop sèche, sous peine qu’elle ne lève pas !

Laissez pousser la pâte, 1 heure à température ambiante, couverte d’un torchon. Ou alors, au four à 35°, c’est radical si vous voyez que ça ne monte pas et que vous commencez à désespérer (j’ai du faire beaucoup d’essais avant de tomber sur la bonne recette, et je vous comprends !).
Ensuite, placez la pâte sur le plan de travail légèrement fariné, formez un boudin, et mettez au frais pour 2 heures au moins (donc vous pouvez aussi faire ça le soir, et la mettre au frais toute la nuit).
Après ce temps de repos, quelque soit la forme que vous souhaitez lui donner, découpez, modelez, étalez, comme vous voulez, mais une fois que vous aurez terminé votre réalisation, avant de dorer et de mettre au four, il faudra compter 1 heure de pousse au chaud (encore une fois, au four à 35° c’est parfait).

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Pour la brioche étoilée, c’est long mais simple : coupez votre pâte en 4 parties égales et étalez les en cercle.
Déposez votre première couche de pâte sur une plaque à pâtisserie recouverte de papier sulfurisé, et recouvrez-là de confiture, de pâte à tartiner, d’écorces d’oranges et de pépites de chocolat, bref, de ce que vous voulez !

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Déposez la deuxième couche de pâte, puis à nouveau, étalez votre garniture. Idem avec la troisième couche, puis refermez le tout avec la 4ème couche.
Ensuite, pour former l’étoile : marquez un cercle au centre, avec un bol par exemple. Et attention, il ne faudra pas couper ce cercle ! On coupe ensuite la brioche en 4, puis 8, puis 16.
Prenez une part dans chaque main et torsadez les l’une vers l’autre, puis collez bien l’extrémité.
Et comme je sens bien que ce n’est pas très clair, le mieux c’est cette petite vidéo qui vous montre exactement comment découper et torsader la brioche !

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Laissez pousser 1 heure au chaud (ça ne poussera pas beaucoup une fois étalé, tartiné, torsadé, mais le goût de la levure sera moins perceptible), dorez au jaune d’oeuf, et enfournez à 180° pour 15 à 20 minutes.

Mon petit gourmand a beaucoup apprécié, moi aussi … je testerai d’autres parfums sans tarder !

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